Cobrastar de Thomas Bois

C’est rare mais je n’ai pas dépassé la moitié de ce roman qui ne vaut que pour son langage très haut en couleur.
Je trouve que l’histoire se traine et a peu d’intérêt alors que les dialogues à force d’exagérer le trait, de fonctionner en argot continuel (voire en patois stéphanois) finissent par être répétitifs, lourds et pénibles à lire.
Peut être ai-je raté la fin, mais cette façon d’écrire me rebute.
D’aucuns disent que c’est hilarant et/ou jubilatoire, ok, je trouve cela finalement ennuyeux car quand c’est trop, c’est trop.
Je ne suis jamais rentré dans cette histoire, peut être au début, oui, mais j’ai effectué une grosse sortie de route au milieu !
Passons à autre chose.