Etat de terreur de Hilary Clinton et Louise Penny

Voilà un thriller implacable que l’on ne peut pas lâcher avant la fin !
Dans le désordre : actions en tous genres, terroristes, pouvoirs, traitres, attentats, Maison Blanche, Etats Unis, Iran, Pakistan, mafia russe, Présidences, courses aux infos, négociations, etc…
Cela ferait un excellent film d’espionnage bourré d’adrénaline.
Mais pas que.
C’est la journaliste Louise Penny qui le dit elle-même à la fin en remerciant entre autres celle avec qui elle a écrit ce thriller : Hilary Clinton.
C’est aussi un roman d’amour. Les femmes y tiennent un grand rôle, en particulier Ellen, la tenace et courageuse secrétaire d’état de la présidence par qui les solutions arrivent.
C’est une histoire qui pourrait se passer l’année prochaine ou après…
Qu’avons-nous ?
Des attentats terroristes, des complots, une Amérique foncièrement divisée,
une tentative de prise de pouvoirs par des suprémacistes blancs, un Moyen-Orient en tourmentes, une mafia russe, etc….
Bref, le monde de 2024.
Heureusement, c’est un roman.
Mais dans le monde où l’on vit, on n’en est pas très loin.
Sauf passer au niveau d’attentats nucléaires, là c’est peut-être un peu exagéré. Mais les arcanes du pouvoir (merci Mme Clinton qui s’y connait), et la fiction des actions (merci Mme Penny, journaliste et écrivaine de polars)
sont donc parfaitement retranscrites grâce à elles.
Tout ceci fait froid dans le dos.
Un sursaut à venir ?
On l’espère tous…
Bien sûr ce scénario idyllique dans sa conclusion fait que l’on y croit pas : les différents protagonistes seraient déjà tous morts avant la fin !
Dois-je écrire heureusement ou malheureusement ?