Expiration de Ted Chiang

Je n’avais pas du tout aimé les nouvelles de la tour de Babylone de Ted Chiang, et je ne cours pas après les recueil de nouvelles.
Deux raisons qui me donnent un à priori négatif en ouvrant Expiration.
Mais au fil des pages, il faut avouer que là, Ted Chiang fait preuve d’un grand talent.
Voici neuf nouvelles de qualités différentes, avec souvent des moments de de grandes intelligences et de maitrises dans le choix des sujets (tous très variés), mais gâchées parfois par des longueurs, des incompréhensions, ou de passages que l’on survole. Je ne les détaillerai pas, d’autres l’ont fait parfaitement.
Mes préférées :
Le marchand et la porte de l’alchimiste / le cycle de vie des objets logiciels / L’angoisse est le vertige de la liberté.
Intéressant :
Les notes à la fin du recueil qui donnent les raisons et les idées qu’a eu Ted Chiang pour écrire ces nouvelles.
En résumé, de grandes trouvailles, un talent indéniable, des idées à foison, mais curieusement un ressenti moyen lorsqu’on ferme ce livre.

Très belle couverture d’Aurélien Police comme toujours de sa part.

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