Orbital : une journée, seize aurores de Samantha Harvey

Ennui profond.
Roman contemplatif.
Explications insuffisantes.
Sentiment de vide absolu (voulu ?)
Les jurés du Booker Prize 2024 n’avaient donc rien d ‘autre à se mettre sous la dent ?
Oui c’est très bien écrit, mais je ne trouve rien de captivant dans ce roman dont la sauce est bien fade.
On manque beaucoup d’explications sur la vie des six astronautes à bord.
Samantha Harvey nous décrit la Terre vue de l’espace tout au long de son récit : c’est long, répétitif et ennuyeux.
D’autres l’ont beaucoup mieux fait : voir Thomas Pesquet
Je comprends que l’on puisse aimer ce genre de roman contemplatif mais il
ne m’a jamais touché, sauf quelques passages dont celui-ci :
 » J’ai décidé d’être astronaute dans le ventre de ma mère, dit Roman devant une salle pleine de gens. Avant même de naître, alors que je prenais de l’oxygène par le cordon ombilical et nageais en apesanteur, je connaissais l’infini parce que j’en venais depuis peu, et c’est là que j’ai décidé de de devenir astronaute.« (page 192)
Dommage, il y avait de quoi faire.

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